Si à Lavaur il est choses inutiles, il s’agit bien des lois, des règlements.
Selon les temps et gens, Carayon dira que la forme est essentielle, ou que c’est la fin qui justifie les moyens, quitte à violer plans et prévisions.
Son arrêté du 19 avril 2019 est significatif de son mépris pour la forme, et aussi pour le fond… qui peut le plus, peut le moins !
On peut s’étonner de la liste des visas pour un changement de destination d’un appartement d’habitation, le plan de prévention des risques naturels n’ayant aucune influence sur le projet, et aussi s’offusquer que cet arrêté soit signé sans le visa de la délégation de signature.
Mais bon à Lavaur, c’est de notoriété publique le roi s’affranchit de toute procédure et ses adjoints par voie de mimétisme aussi. Et puis nous ne sommes pas à un amateurisme près.
Mais sur le fond, ce changement d’affectation qui aurait permis d’accueillir une orthodontiste et donc de favoriser l’installation d’un personnel médical fort sollicité, est refusé au motif… qu’une piste cyclable est en cours de création avenue P.Fabre.
Et qu’aucun stationnement n’est prévu pour le patient de cette orthodontiste !
L’intelligence, le souci du bien être des habitants eut voulu que soit organisé ce stationnement, de proposer une solution pour une ou deux places de stationnement sans hypothéquer cette piste (fantôme à l’heure actuelle).
L’arrêté est mensonger, il n’y a pas de piste cyclable en cours de création, un projet de telle nature n’a pas été soumis au vote du conseil, il n’y a pas de plan de développement de cette piste, et finalement on perd un praticien médical. A moins que dans le secret du bureau du maire… une raison moins avouable soit… la raison !