N’en déplaise au maire, l’urgence est bien écologique, d’ailleurs à l’ignorer, il conduit inéluctablement la planète à sa perte ou du moins participe.
Par voie de conséquence, s’il a la naïveté de penser que son dieu pourvoira aux erreurs humaines, il va vers une désillusion grave dont les débiteurs seront ses enfants et ses petits-enfants (les nôtres avec !) si toutefois la Cathédrale Terre tient assez longtemps et ne sombre pas dans un brasier apocalyptique.
Réagir sans arrière pensée de politique politicienne est le seul recours qui nous reste et cela ne consiste pas à privilégier des monuments d’hier quand ce sont les mesures de transition énergétique et écologique d’aujourd’hui qui sont à privilégier.