Applaudissons, la Dépêche du Midi a relevé que l’opposition avait été constructive lors du dernier conseil municipal (de plus en plus déserté par le public !).
Mais, elle a construit quoi ? Ou plus exactement qu’a-t-elle comme marge de manœuvre pour construire, elle est repoussée de toute participation, Jupiter choisissant avant la réunion ceux qui auront sa bonne parole à diffuser.
Dans le plus grand secret des commissions se font et se défont les mini-politiques de Carayon.
Au gré des pseudo-besoins et des vraies humeurs, les décisions vont impacter la vie de Lavaur.
L’indifférence coupable des administrés va donner de la force aux caprices de notre Jupiter très local qui, à défaut de s’adjoindre des compétences, a des talents pour fédérer des courtisans.
Être retenu à Paris ne devrait pas empêcher le député de poser des questions, par exemple…
- Plusieurs agents ont été placés en congé de longue maladie ? Combien…
- Des accidents du travail ? Combien et quelles sont les mesures d’analyse des accidents ?
- Jupiter se veut le chantre du consommer local… pourtant un marché d’achat de fournitures scolaires et de fournitures de travaux manuels a été passé avec une société de papeterie de la Loire, sans doute un moyen efficace de soutenir le commerce local !
- Et pour le soutien des entreprises locales, le choix d’une entreprise de l’Aude – en maçonnerie – est aussi le meilleur choix, sans doute aucun maçon n’a-t-il pignon sur rue à Lavaur !
- Le marché de restauration d’un mur de la cathédrale est confié à une entreprise de Castelnaudary (voir ci-dessus). Il fait un bond de 63 k€ à plus de 100k€. L’équilibre du marché serait respecté ? encore faudrait-il expliquer voire justifier… Donner à tout le moins les conclusions de la commission des marchés…
- Pas de réaction quant à la mise en lumière de la cathédrale (100k€) curieux d’ailleurs ce besoin car comme chacun sait « Dieu est lumière, et qu’il n’y a point en lui de ténèbres. (1 Jean 1:5). Nous aurions pu faire cette économie !
Chaque paragraphe de ce conseil municipal suscite bien des interrogations et pourtant à part quelques velléités de contestation rien d’essentiel n’est discuté…